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The government of a community's role is to insure communication between member of this community


***Les assertions qui suivent sont uniquement visées à présenter la cohérence d'une vision. Elles n'ont pas vocation à véritablement imposer au gouvernment ce qu'il devrait être.***


Introduction


Le devoir du gouvernement est d’assurer la communication. Cela devrait être sa principale fonction. Cela devrait être le cas car les hommes étant profondément sociaux peuvent être amenés à agir contre leur intérêt dans leur entrain social. C'est car les hommes aiment rentrer en contact les uns avec les autres, qu'ils sont à la fois Homme(-flux) à la fois Homme-cible. (L'Homme -flux est l'opposé complémentaire de l'Homme'cible conceptuellement, car l'Homme cible est arrêté, hors j'admets que l'état naturel de l'Homme est son impression relative de mouvement.)


La sauvegarde, non de l’espèce, comme l’a présenté Darwin, mais du lien intelligent est ce à quoi chaque individu s’exerce (s'exercerait). Il cherche à se donner, autant qu’à se protéger des élans respectifs de chacun qui ne savent se tempérer par peur de la disparation. (Le lien intelligent est celui qui considère la vérité (i.e la réalite astrainte) dans laquelle les personnes reliées par cette communication sont conscientes d’être. Capables de ne pas projeter dans cette matière les flots dé-réalisés (not-directed) de leurs émotions, ils sont dans en lien sensible- un lien qui n'a pas peur de la restructuration.) J'admets que la peur de la disparation du lien dans une forme absolutiste est ce qui amène le Corps Humain (le Corps Social) à ne pas entre en contact aussi librement qui le pourrait. Le role du gouvernment étant de corriger les distances empêchant l'Homme de développer son impression relative de mouvement, il semblerait cohérent qu'il ai à corriger cette distance dans laquelle la peur de la disparition s'installe.


On peut noter que l'Homme n’aurait alors pas peur de la mort en tant que la propre cessation de sa manifestation physique, mais de la mort comme la cessation brusque du lien social. Ainsi, la peur de restructurer ne peut être que liée qu'à cette peur composéee de l'incapacité à établir des "moments totaux", les "moments totaux" étant l'expression d'un moment dont l'expérience respective par des membres du Corps Humain (du Corps Social) a été comblée par l'expression totale autant que relative d'un sentiment de saciété heureuse du lien de communication, d'une réalisation consciente du phénomène d'humanité dans l'exemplarité de cette communication. (J'emploie le terme d'exemplarité pour l'exercice de l'audience, ce terme me provoquant moi même, au point de le retirer. Il en restera là pour le moment.)


C'est cette peur de l'incapacité à établir des "moments totaux" dans un Corps Humain (Corps Social) en mouvement qui empêche ces changements d'advenir. C'est la vérité astrainte que dans l'état actuel du Lieu Social, l'expérience d'une forme de communicabilité totale (i.e Mill sur La Liberté) ne générerait que des mondes superposés n'amenant qu'au désordre des conscientes singulières autant que collectives comme c'est le cas aujourd'hui. Le désordre de ces consciences seraient liées à la mise en scène de Lieux Sociaux comme un territoire de fossés gigantesques.


J'admets donc encore que le rôle du gouvernement est de complèter les incapacités crées par la mise en relations de corps humain. Par expérience, autant que par croyance, j'admets égakement que la communication est ce qui créera, sous l'action du governement, des liens entre ces topographies des Lieux Sociaux, que la communication est ce qui permet aux espaces de prendre une forme dans laquelle l'impression de mobilité relative peut s'exercer.


Ci-dessous, quelques observations de systèmes contemporains positifs pouvant illustrer le rôle de la structure dans l'établissement de la communication comme principe fondateur et cela au bénéfice de ces particpants. On notera dans chacun des cas la cohérence des dialogues établis.


1. Le manageur d’un segment ou de la totalité d’une entreprise


Alors que ce que l'on appelle aujourd'hui communément "les entreprises" est souvent marqué par la philosophie de la critique capitalistique voyant l'entrerprise comme cette machine oppresante pour la création de profits, de valeur financière, à défaut de valeur sociale, j'aimerais observer une caractéristique inhérente à ce système stable.


Qu’est-ce qu’une bonne entreprise sans un bon manageur ? Le bon manageur est celui qui fait fonctionner l’entreprise en tant qu’il met en lien ces personnes qui ont été missionnés, qui ont été requises, et qui dans le contexte de l'exercice de leurs taches sont amenées à la réinterprétation de celles-ci au profit du projet, de l'édifice global, la réinterprétation demandant la réfléxivité d'une autre expérience humaine. Le concept du manageur officialise l'importance du lien nécéssaire entre les uns et les autres du fait même de sa propre existance. Il est ce qui permet à une entreprise de fonctionner, de proliférer, comme certaines fonctionnent. (La prolifération est le développement spacial souvent d'un phénomène, qui de part sa prolifération et le naturel de celle ci, devient fait social dans les consciences vivantes (les consciences dans leur simple état d'exister.)) L'idée d'un Homme missioné dans l'exercice d'une tache est un emploi particulièrement volontaire de ma part. Je souhaite que le lecteur sache que même si je considère l'état du monde du travail (i.e labor) inhumain, cette inhumanité est fondée sur le manque de naturel à l'expérience de la communication. J'ai le fervent espoir-conviction que le monde qu'est celui du travail comme celui d'une activité détournante est la capacité d'être un Lieu Social pour l'expérience de la mobilité relative de l'Homme.


L’exemple de l’existence du principe du manageur d’un segment ou de la totalité d’une entreprise est donc un exemple utile pour concevoir l’importance de rôle de facilitateur de communications dans un régime - l’entreprise - (sain à de multiples égards) où l’activité génératrice (de valeur-système) prime.


2. Le G.O


Utilisant cet exemple, je ne doute pas me placer dans une catégorie sociale qui pourraient inviter mes lecteurs à connoter mes propos. Je m'en prévot et vous prie de ne pas astraire aux limites de mon imagination l'assertion d'une vérité sociale fondée sur des mondes disparates. L'exemple n'a de valeur que tant qu'il est transitoire, tant qu'il est élan au dehors de lui. Poursuivons.


Le «G.O» (Gentils Organisateurs) est le nom donné aux animateurs dans ce club de vacances représentatif d’une certaine époque, le Club Med’ (le Club Méd'iterranée). Ces animateurs, visibles partout dans l’espace de ces clubs de vacances ont pour travail, pour mission, de venir vers nous, les "G.M" (Gentils Membres) et de rentrer en contact avec nous de manière positive, nous suggérer des activités, nous présenter d’autres vacanciers, etc. On oubliera ici l'absence de désir que l'un pourrait avoir envers ces derniers mouvements. Le "G.O" existe de façon inhérente à l'établissement du Club Medittéranée, et il fait partie des raisons pour lesquels ceux qui le fréquentent y sont peut-être attachés. Je me souviens enfant générer beaucoup de joie à l'idée de ces socialisants qui permettent encore une fois à toute intéraction d'être légitime.


L’exemple de l’existence du principe du "G.O" est donc un exemple utile pour concevoir l’importance de rôle de facilitateur de communications dans un régime – le club de vacances – où le loisir (le confort dans sa version absolue) prime.


3. Le professeur des écoles


Vous me pardonnerez la décision de laisser de côté les professeurs des niveaux supérieurs dans la mesure où ceux-ci qui existent dans un contexte où la cohérence est discutable, les professeurs et les étudiants étant pour des raisons si éparses que l'on ne pourrait véritablement y trouver de cohérence. Cependant, au sujet de ces derniers, les professeurs des école, on notera que les élèves -n'ayant aucun autre intérêt que la connaissance (dans la mesure où ils ne réalisent pas la société comme un ensemble de pressions sociales)- constituent un autre exemple idéal dans la mesure où leur participation est liée au but de l’infrastructure- en l’occurrence de créer le lien de communication entre la connaissance et l’enfant.


Ainsi, le professeur des écoles, dans ce lien pacifique de mise en relation, est le vecteur de communication permettant au gouvernement qu’est l’école primaire de réussir dans le but qui est le sien.


L’exemple de l’existence du principe du professeur des écoles est donc un exemple utile pour concevoir l’importance de rôle de facilitateur de communications dans un régime – l’éducation – où la connaissance (la matière pour créer des associations dans le but de facilité sa mobilité relative) prime.


4. Notes rapides sur le monde naturel et les régimes totalitaires comme des structures n'ayant besoin de facilateur: notes sur l'importance de ce besoin


Le monde naturel est organisé par les passions libérées. Les passions libérées se vivent donc dans la communication immanente aux passions libérées. Le monde naturel n’a donc pas besoin d’intermédiaire de communication car il n’a pas à se protéger. Il n'a pas à se protéger tout simplement car un processus de protection serait inhérent à toutes ses actions contradictoires, dès lors que les passions sont libérés, qu'elles adviennent sans la réfléxivité ici débattue propre à la rencontre dans le Lieu Social.


De l'autre côté du spectre, les régimes totalitaires sont eux fondés entièrement sur cette attention à la communication que je développais plus tôt, détournés cependant à des fins d’endoctrinement. Dans le cas des régimes totalitaires, comme pour le cas du monde natural, la réfléxivité est absence. Si dans un cas elle n'a jamais eu a être présente, le cas du monde naturel, et que dans l'autre, le régime totalitaire, elle a été détruite du système social, le régime totalitaire, comme le monde naturel, supprime le réfléxivité (supprimer n'est pas un terme adapté quand l'on pense au monde naturel mais pas volonté de condenser le propos, je me tiendrais qu'à cette phrase pour m'en corriger). Dans son cas, celui du régime totalitaire, il la supprime au niveau de la pensée, où le régime est devenu si naturalisé que la pensée agit envers le système comme si il avait la verité du monde naturel intégrée.


Conclusion éphémère


Du monde naturel aux régimes totalitaires, aux mondes fabriqués par des individus dans des régimes dits démocratiques (i.e entreprises, clubs de vacances, éducation primaire), nous voyons que la cohérence est ce qui guide la prospérité de ces systèmes, et que dans tous les cas, cette cohérence est octroyée par un système de mise en communication inhérent à celui-ci. Avec l’exception du monde naturel, ainsi que des régimes totalitaires dans lequel l'absence de réfléxivité domine, les exercices de structures démocratiques sont fondées quand à eux sur un discours considérant celle-ci. Il me semble que tant la possibilité pour une réfléxivité totale via une forme de governement fondée sur favoriser la communication apulante et libérante, nous serons sont le joue la censure des Corps Humain meut par leur peur de la disparatio .


Que le government se concentre d'assurer une communication simple autant que totale à ses membres dans l'expérience de leur localité immédiate (physique ou numérique), est ce qui permettra la cohérence du temps vécu dans un présent inaliablement existant; un présent inalienablement existant, et cela même pour des corps voués à l'actionnment de leur mobilité relative, qui auront nécéssairement besoin de s'ancrer dans un présent pour s'actualiser, phénomène nécéssaire pour développer le spectre de sa mobilité relative.


***Ces réfléxions ne sont pas totalement abouties, mais elles sont une première impulison qui ne pourront inévitablement qu'être nourries de rencontres physiques ou spaciales.***

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